DI MARIO ROSALDO
AGGIORNAMENTO: 3 NOVEMBRE 2017
«... la scienza è eminentemente perfettibile e... ogni teoria viene immediatamente distrutta da una nuova teoria.»
«La scienza, ragazzo mio, è fatta di errori, ma di errori che è bene commettere perché a poco a poco portano alla verità.»
Jules Verne, Viaggio al Centro della Terra (1864)
« Voici ce que je décide, répondit le professeur Lidenbrock en prenant ses grands airs ; c’est que ni toi ni personne ne sait d’une façon certaine ce qui se passe à l’intérieur du globe, attendu qu’on connaît à peine la douze millième partie de son rayon ; c’est que la science est éminemment perfectible et que chaque théorie est incessamment détruite par une théorie nouvelle.
N’a-t-on pas cru jusqu’à Fourier que la température des espaces planétaires allait toujours diminuant, et ne sait-on pas aujourd’hui que les plus grands froids des régions éthérées ne dépassent pas quarante ou [42]cinquante degrés au-dessous de zéro ? Pourquoi n’en serait-il pas ainsi de la chaleur interne ? Pourquoi, à une certaine profondeur, n’atteindrait-elle pas une limite infranchissable, au lieu de s’élever jusqu’au degré de fusion des minéraux les plus réfractaires ? »
Jules Verne, Voyage au centre de la Terre (1864), VI, pp. 41-42.
« La science, mon garçon, est faite d’erreurs, mais d’erreurs qu’il est bon de commettre, car elles mènent peu à peu à la vérité. ... [197] »
Jules Verne, Voyage au centre de la Terre (1864),
XXXI, pp. 196-197.
XXXI, pp. 196-197.
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